Première Partie : THE DOUGH ROLLERS
« Arrivée à 20 heures pile à l’Olympia ce soir-là, je manque le début du set des Américains de Dough Rollers, et c’est bien dommage. Davantage axé blues et country lorsqu’il est en studio, le duo, accompagné d’un bassiste et d’un batteur pour les performances scéniques, a franchement assuré avec un rock 50’s survitaminé, qui m’a donné envie de danser dès l’entrée en salle. Le look est travaillé, et la voix du chanteur proprement hallucinante. Je regrette que les gens autour de moi ne remuent guère, mais le groupe est malgré tout copieusement applaudi à chaque fin de titre. Je n’ai pas compris un seul mot de ce que nous a dit le chanteur, à part « I’m sorry, I don’t speak French » mais la musique se suffisait à elle-même pour établir la communication. Une excellente surprise.
Une voix féminine nous annonce ensuite vingt minutes d’entracte, que je mettrai à profit pour me rapprocher un peu. Je n’aurai pas une vue parfaite, mais c’est ma troisième fois aujourd‘hui, je suis surtout là pour profiter à fond de la musique, et me contenterai de quelques aperçus fugitifs de Troy (ah ! Troy ! Forcément je me suis mise à gauche) et de Josh principalement. L’attente passe assez vite et le déroulement, carré et sans fioritures, du fameux premier album peut commencer. J’ai une préférence marquée pour Rated R et, n’en déplaise à certains, Lullabies To Paralyze, mais ce rock planant, ce vrai stoner pure souche des débuts, reste un délice en live. À part Avon, je ne les avais jamais entendues en concert, donc ça fait bien plaisir. J’ai particulièrement adoré You Would Know, ma préférée sur l’album, mais l’ensemble est d’un très haut niveau, on ne s’ennuie pas même en connaissant tout à l’avance. Cette force dans la frappe de Joey Castillo, je ne m’en suis pas remise, au Zénith et au Rock en Seine, le son était loin d’être le même… Josh parle de temps en temps, il est content d’être là (bon mais ça il le dit tout le temps), « it’s you and us against the world », cliché mais efficace, le public réagit au quart de tour.
Après douze titres intenses (seul The Bronze a été ajouté à la première version de l’album), c’est déjà l’heure du premier rappel. Monsters In The Parasol ouvre, je l’ai déjà eue au Rock En Seine mais ne vais pas m’en plaindre. Après ça se gâte, c’est pas que je déteste Era Vulgaris, mais j’avais d’autres attentes et ne devais pas être la seule. Il n’y avait pas eu Into the Hollow au Zénith, alors j’étais plutôt contente, mais la voix m’a parue noyée sous les instruments, et j’ai trouvé que le côté mélodique ne ressortait pas assez. Enfin, quel putain de riff quand même. Make It Wit Chu, le moment où les couples s’enlacent, et où je me dis que j’aurais pu trouver ça plus sympa si Guillaume avait accepté de venir. Ça fait bizarre quand même, un tel moment à un concert de QOTSA. On repart sur le rock’n’roll avec Little Sister, le public s’énerve, je serai cependant épargnée par les pogos, à mon grand soulagement. En fait le mec à côté de moi m’a même demandé si ça me dérangeait pas qu’il fume, respect quoi, c’est pas une question qu’on m’a posée souvent… En l’occurrence, même si je ne fume pas, ça ne me dérange pas, et heureusement car il y avait (c’est pas une surprise) beaucoup de fumeurs à l’Olympia ce soir-là. Le final de Little Sister est, comme toujours, du bonheur à l’état pur, et déjà le second rappel arrive. Après Go With the Flow (qui remporte logiquement les faveurs du public), Josh propose No One Knows ou A Song for the Dead. Choix cornélien pour certains, moi même sans Lanegan je vote pour la seconde, mais c’était une feinte, on a eu les deux ;-)
Et c’est fini, dur de redescendre sur terre, pas de Mosquito Song, Someone’s in the Wolf, The Fun Machine, Leg of Lamb, Headache… Ça aurait pu être meilleur, c’était quand même déjà énorme, vivement le nouvel album ! En attendant demain j’abandonne QOTSA pour Art Brut, changement de décor !»
Une voix féminine nous annonce ensuite vingt minutes d’entracte, que je mettrai à profit pour me rapprocher un peu. Je n’aurai pas une vue parfaite, mais c’est ma troisième fois aujourd‘hui, je suis surtout là pour profiter à fond de la musique, et me contenterai de quelques aperçus fugitifs de Troy (ah ! Troy ! Forcément je me suis mise à gauche) et de Josh principalement. L’attente passe assez vite et le déroulement, carré et sans fioritures, du fameux premier album peut commencer. J’ai une préférence marquée pour Rated R et, n’en déplaise à certains, Lullabies To Paralyze, mais ce rock planant, ce vrai stoner pure souche des débuts, reste un délice en live. À part Avon, je ne les avais jamais entendues en concert, donc ça fait bien plaisir. J’ai particulièrement adoré You Would Know, ma préférée sur l’album, mais l’ensemble est d’un très haut niveau, on ne s’ennuie pas même en connaissant tout à l’avance. Cette force dans la frappe de Joey Castillo, je ne m’en suis pas remise, au Zénith et au Rock en Seine, le son était loin d’être le même… Josh parle de temps en temps, il est content d’être là (bon mais ça il le dit tout le temps), « it’s you and us against the world », cliché mais efficace, le public réagit au quart de tour.
Après douze titres intenses (seul The Bronze a été ajouté à la première version de l’album), c’est déjà l’heure du premier rappel. Monsters In The Parasol ouvre, je l’ai déjà eue au Rock En Seine mais ne vais pas m’en plaindre. Après ça se gâte, c’est pas que je déteste Era Vulgaris, mais j’avais d’autres attentes et ne devais pas être la seule. Il n’y avait pas eu Into the Hollow au Zénith, alors j’étais plutôt contente, mais la voix m’a parue noyée sous les instruments, et j’ai trouvé que le côté mélodique ne ressortait pas assez. Enfin, quel putain de riff quand même. Make It Wit Chu, le moment où les couples s’enlacent, et où je me dis que j’aurais pu trouver ça plus sympa si Guillaume avait accepté de venir. Ça fait bizarre quand même, un tel moment à un concert de QOTSA. On repart sur le rock’n’roll avec Little Sister, le public s’énerve, je serai cependant épargnée par les pogos, à mon grand soulagement. En fait le mec à côté de moi m’a même demandé si ça me dérangeait pas qu’il fume, respect quoi, c’est pas une question qu’on m’a posée souvent… En l’occurrence, même si je ne fume pas, ça ne me dérange pas, et heureusement car il y avait (c’est pas une surprise) beaucoup de fumeurs à l’Olympia ce soir-là. Le final de Little Sister est, comme toujours, du bonheur à l’état pur, et déjà le second rappel arrive. Après Go With the Flow (qui remporte logiquement les faveurs du public), Josh propose No One Knows ou A Song for the Dead. Choix cornélien pour certains, moi même sans Lanegan je vote pour la seconde, mais c’était une feinte, on a eu les deux ;-)
Et c’est fini, dur de redescendre sur terre, pas de Mosquito Song, Someone’s in the Wolf, The Fun Machine, Leg of Lamb, Headache… Ça aurait pu être meilleur, c’était quand même déjà énorme, vivement le nouvel album ! En attendant demain j’abandonne QOTSA pour Art Brut, changement de décor !»
Queens of the Stone Age est un groupe de rock américain fondé en 1996 à Palm Desert, en Californie, après la dissolution du groupe Kyuss. Parfois classé stoner rock ou hard rock, Queens of the Stone Age est le groupe de Josh Homme, seul membre fondateur restant du groupe.
• Queens of the Stone Age (1998)
• Rated R (2000)
• Songs for the Deaf (2002)
• Lullabies to Paralyze (2005)
• Era Vulgaris (2007)
• Rated R (2000)
• Songs for the Deaf (2002)
• Lullabies to Paralyze (2005)
• Era Vulgaris (2007)
• Queens of the Stone Age (Remastered - 2011)
Josh Homme – Guitar / Voice
Michael Schuman – Bass
Dean Fertita – Keyboards
Joe Castillo – Drums
Troy Van Leeuwen - Vocals/Guitar/Keyboard/Lap Stee
Michael Schuman – Bass
Dean Fertita – Keyboards
Joe Castillo – Drums
Troy Van Leeuwen - Vocals/Guitar/Keyboard/Lap Stee
La Setlist du Concert
QOSTA
Regular John (Queens Of The Stone Age - 1998)
Avon (Queens Of The Stone Age - 1998)
If Only (Queens Of The Stone Age - 1998)
Walkin' on the Sidewalks (Queens Of The Stone Age - 1998)
You Would Know (Queens Of The Stone Age - 1998)
How to Handle a Rope (Queens Of The Stone Age - 1998)
Mexicola (Queens Of The Stone Age - 1998)
Hispanic Impressions (Queens Of The Stone Age - 1998)
The Bronze (Split EP - Bonus Queens Of The Stone Age - 1998)
Give the Mule What He Wants (Queens Of The Stone Age - 1998)
I Was a Teenage Hand Model (Queens Of The Stone Age - 1998)
You Can't Quit Me Baby (Queens Of The Stone Age - 1998)
Encore 1
Monsters in the Parasol (Rated R - 2000)
Turnin' on the Screw (Era Vulgaris - 2007)
Into the Hollow (Era Vulgaris - 2007)
Make It Wit Chu (Era Vulgaris - 2007)
Little Sister (Lullabies to Paralyze - 2005)
Encore 2
Go With the Flow (Songs For The Deaf - 2002)
No One Knows (Songs For The Deaf - 2002)
A Song for the Dead (Songs For The Deaf - 2002)
Avon (Queens Of The Stone Age - 1998)
If Only (Queens Of The Stone Age - 1998)
Walkin' on the Sidewalks (Queens Of The Stone Age - 1998)
You Would Know (Queens Of The Stone Age - 1998)
How to Handle a Rope (Queens Of The Stone Age - 1998)
Mexicola (Queens Of The Stone Age - 1998)
Hispanic Impressions (Queens Of The Stone Age - 1998)
The Bronze (Split EP - Bonus Queens Of The Stone Age - 1998)
Give the Mule What He Wants (Queens Of The Stone Age - 1998)
I Was a Teenage Hand Model (Queens Of The Stone Age - 1998)
You Can't Quit Me Baby (Queens Of The Stone Age - 1998)
Encore 1
Monsters in the Parasol (Rated R - 2000)
Turnin' on the Screw (Era Vulgaris - 2007)
Into the Hollow (Era Vulgaris - 2007)
Make It Wit Chu (Era Vulgaris - 2007)
Little Sister (Lullabies to Paralyze - 2005)
Encore 2
Go With the Flow (Songs For The Deaf - 2002)
No One Knows (Songs For The Deaf - 2002)
A Song for the Dead (Songs For The Deaf - 2002)
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