Première Partie : ROYAL BANGS
« Une fois de plus c’est un dilemme ce soir : The Walkmen ou mes chouchous de Handsome Furs ? Le choix est fait, ce sera The Walkmen puisque j’ai malheureusement manqué son précédent concert à la Flèche d'Or. Sans arriver vraiment tôt, je suis surpris du peu de monde devant la salle, une poignée de personnes seulement avec Anthony. Pour une fois il est sur place avant moi et il m’annonce une bonne nouvelle: une place d’invitation en plus pour le concert d’Handsome Furs de ce soir. Réflexion faite, compte tenu de l’horaire de passage du groupe sur scène (vers 11h), on a toutes les chances pour y assister.
Ce soir on constate peu de monde, le balcon est fermé et la fosse est remplie à peine aux deux tiers... peux être le prix du billet (27,50€) un peu élevé ? En tout cas l’atmosphère est presque morose et ce n’est pas la première partie du nom de Royal Bangs qui va me faire changer d’avis. Il ne me reste peu de souvenirs de leur prestation si ce n’est que j’ai trouvé cela sans intérêt et avec l’impression de voir un groupe qui n’a pas trouvé son style . Le tout fatiguant au bout de quelques minutes. Heureusement leur set est court : 31 minutes.
Avec Anthony et Eric, on lorgne du coté de notre montre en constatant que pour le moment on est dans le délais parfaits pour finir notre soirée à la Flechè, restent à savoir combien de temps The Walkmen vont jouer. Premières constatations : la scène est presque trop grande pour eux, chaque musicien est de son coté et je ne ressens pas l’union qui avait justement fait leur force lors d’un excellent concert à la Maroquinerie en octobre 2008, quand le groupe n’avait pas encore l’aura qu’il développe maintenant. Alors qu’est-ce qui cloche ce soir ? Car autant le dire, je n’ai pas été emballé par la prestation des New Yorkais. Quel en est la cause ? Un concert trop propre et pas vraiment fusionnel, l’impression que tout cela est beau et bien fait mais une manque d'efficacité et de frénésie. J’ai remarqué que les parties consacrées à leur dernier album «Lisbon» se révèlent sur scène trop fades à mon goût. Pourtant le début de concert était plutôt engagé sur de bonnes bases, avec des guitares supersoniques... trop surement car l’ingénieur du son baissera le son après quelques minutes. Puis, plus grand-chose se passe. Hamilton Leithauser à beau s’appliquer devant son micro mais le courant ne passe pas. Bien sûr il y aura le fantastique The Rat, là on ne peux rien dire car le morceau est tellement bon que même ce soir tient ses promesses . J’ai noté aussi une assez bonne version de Juveniles et c’est à peu près tout. Alors étais-je dans un jour sans ? Pas si sûr que ça. D’accord je deviens exigeant avec les années mais je n’ai pas retrouvé la force, la puissance et le choc que j’avais eu en 2008. Et puis sans être méchant, 1h10 de concert c’est un peu léger pour un groupe qui a six albums au compteur, non ?
Il est à peine 22h30, pas le temps de récupérer la Setlist et de trainer dans la salle, car Anthony et moi filons en vitesse vers la Flèche d’Or, pour un autre concert et y terminer notre soirée en beauté.
Ah oui j’oubliais, étant donné que mon appareil photo est tombé en panne, j’ai donc fait quelques photos avec l’iPhone... pas mal tout compte fait ! »
Ce soir on constate peu de monde, le balcon est fermé et la fosse est remplie à peine aux deux tiers... peux être le prix du billet (27,50€) un peu élevé ? En tout cas l’atmosphère est presque morose et ce n’est pas la première partie du nom de Royal Bangs qui va me faire changer d’avis. Il ne me reste peu de souvenirs de leur prestation si ce n’est que j’ai trouvé cela sans intérêt et avec l’impression de voir un groupe qui n’a pas trouvé son style . Le tout fatiguant au bout de quelques minutes. Heureusement leur set est court : 31 minutes.
Avec Anthony et Eric, on lorgne du coté de notre montre en constatant que pour le moment on est dans le délais parfaits pour finir notre soirée à la Flechè, restent à savoir combien de temps The Walkmen vont jouer. Premières constatations : la scène est presque trop grande pour eux, chaque musicien est de son coté et je ne ressens pas l’union qui avait justement fait leur force lors d’un excellent concert à la Maroquinerie en octobre 2008, quand le groupe n’avait pas encore l’aura qu’il développe maintenant. Alors qu’est-ce qui cloche ce soir ? Car autant le dire, je n’ai pas été emballé par la prestation des New Yorkais. Quel en est la cause ? Un concert trop propre et pas vraiment fusionnel, l’impression que tout cela est beau et bien fait mais une manque d'efficacité et de frénésie. J’ai remarqué que les parties consacrées à leur dernier album «Lisbon» se révèlent sur scène trop fades à mon goût. Pourtant le début de concert était plutôt engagé sur de bonnes bases, avec des guitares supersoniques... trop surement car l’ingénieur du son baissera le son après quelques minutes. Puis, plus grand-chose se passe. Hamilton Leithauser à beau s’appliquer devant son micro mais le courant ne passe pas. Bien sûr il y aura le fantastique The Rat, là on ne peux rien dire car le morceau est tellement bon que même ce soir tient ses promesses . J’ai noté aussi une assez bonne version de Juveniles et c’est à peu près tout. Alors étais-je dans un jour sans ? Pas si sûr que ça. D’accord je deviens exigeant avec les années mais je n’ai pas retrouvé la force, la puissance et le choc que j’avais eu en 2008. Et puis sans être méchant, 1h10 de concert c’est un peu léger pour un groupe qui a six albums au compteur, non ?
Il est à peine 22h30, pas le temps de récupérer la Setlist et de trainer dans la salle, car Anthony et moi filons en vitesse vers la Flèche d’Or, pour un autre concert et y terminer notre soirée en beauté.
Ah oui j’oubliais, étant donné que mon appareil photo est tombé en panne, j’ai donc fait quelques photos avec l’iPhone... pas mal tout compte fait ! »
The Walkmen sont un groupe indie rock de la ville de New York et se sont formé en 2000, sur les cendres s de Jonathan Fire Eater et es Recoys. Ses compositions, jamais faciles, toujours nerveuses, dévoilent un certain romantisme sombre, exalté et dramatique. Encore trop méconnus, on ne clamera jamais assez fort la classe phénoménale qui déborde des compositions des Walkmen.
Everyone Who Pretended to Like Me Is Gone (March 26, 2002)
Bows + Arrows (February 3, 2004)
A Hundred Miles Off (May 23, 2006)
"Pussy Cats" Starring The Walkmen (October 24, 2006)
You & Me (August 19, 2008)
Lisbon (September 14, 2010)
Hamilton Leithauser : lead vocals and guitar
Matt Barrick : drums
Pete Bauer : keyboards
Walter Martin : bass
Paul Maroon : guitar
Pete Bauer : keyboards
Walter Martin : bass
Paul Maroon : guitar
La Setlist du Concert
THE WALKMEN
New Song (Hamilton Leithauser solo)
138th Street (Hamilton Leithauser solo) (Bows - Arrows - 2004)
On The Water (You & Me - 2008)
Woe Is Me (Lisbon - 2010)
Blue As Your Blood (Lisbon - 2010)
Juveniles (Lisbon - 2010)
While I Shovel The Snow (Lisbon - 2010)
Donde Esta La Playa (You & Me - 2008)
Wake Up (Everyone Who Pretended to Like Me Is Gone - 2002)
We've Been Had (Everyone Who Pretended to Like Me Is Gone - 2002)
Angela Surf City (Lisbon - 2010)
In The New Year (You & Me - 2008)
Encores
The Rat (Bows - Arrows - 2004)
All Hands And The Cook (A Hundred Miles Off - 2006)
138th Street (Hamilton Leithauser solo) (Bows - Arrows - 2004)
On The Water (You & Me - 2008)
Woe Is Me (Lisbon - 2010)
Blue As Your Blood (Lisbon - 2010)
Juveniles (Lisbon - 2010)
While I Shovel The Snow (Lisbon - 2010)
Donde Esta La Playa (You & Me - 2008)
Wake Up (Everyone Who Pretended to Like Me Is Gone - 2002)
We've Been Had (Everyone Who Pretended to Like Me Is Gone - 2002)
Angela Surf City (Lisbon - 2010)
In The New Year (You & Me - 2008)
Encores
The Rat (Bows - Arrows - 2004)
All Hands And The Cook (A Hundred Miles Off - 2006)
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