Première Partie : SBRKT
« Pas beaucoup de publicité pour ce concert, mais pourtant une soirée sold out depuis plusieurs semaines déjà, preuve que le public parisien reste attaché au Friendly Fires. Il faut dire que leur dernière prestation à la Maroquinerie, il y a maintenant deux ans, avait frappé les esprits et m’avait, par la même, convaincu que ce groupe était bon.
J’ai décidé de me placer sur la gauche de la scène pour pouvoir être en face du guitariste, car si je me rappelle bien c’est lui et Ed MacFarlane, le chanteur du groupe, qui sont les principaux instigateurs de Friendly Fires.
En attendant, il faut subir la première partie, un duo du nom de SBRKT, ça sent la musique électronique vu le matos sur scène (claviers et batterie avec claviers !). Effectivement je ne me trompe pas, les deux musiciens sont affublés de masques évoquant l’Amérique du Sud, les Incas, ou quelque chose comme cela, je ne sais toujours pas à quoi ils servent, mais bon… Musicalement, c’est assez fatigant, bidouillages électroniques, sans véritable forme. De plus le chanteur black qui se trouve aux claviers chante très mal, du coup c’est irritant à la longue. Pour ma part, c’est sans grand intérêt. 39 minutes de concert tout de même…
Scène dégagée, la batterie se trouve curieusement sur la droite de la scène alors que les cuivres qui généralement se trouvaient en arrière-plan sont ce soir sur la gauche juste derrière le guitariste. Le concert débute par Lovesick, on pense fatalement à de groupes comme LCDS et (Chk Chk Chk) !!!, mais quand c’est bien fait, on approuve tout simplement. Il est vrai que Friendly Fires possède en la personne d’Ed MacFarlane un performer hors du commun. La différence qui s’affiche clairement ce soir avec les groupes d'influence c’est le côté funk que Friendly Fires apporte à leur musique, en partie grâce aux cuivres, d’ailleurs. Le concert est, pour une partie, consacré à de nouveaux morceaux pour un album qui devrait sortir dans quelques mois. Avec On Board on attaque carrément du côté de chez LCD Soundsystems avec de la basse et des percussions sans oublier le jeu de scène de Ed qui à leur début me semblait assez ambigu, mais qui est maintenant la marque de fabrique du groupe. Il faut le voir se tortiller dans son pantalon serré et faire monter l’excitation dans le public. À ce propos, il est curieux de voir qu’il a fallu une bonne demi-heure pour que le point FMR commence à bouger. Ce n’étaient d’ailleurs pas les premiers rangs qui tanguaient, mais plutôt le milieu en arrière. La cause était sans doute due aux nouveaux morceaux interprétés par le groupe. Mais la salle prend feu définitivement avec Jump In Pool puis finie conquise avec la bien nommée Paris où le mélange des percussions et du synthé la font définitivement chavirer. Ce qui est bizarre avec Friendly Fires c’est que j’ai l’impression qu’ils ont pioché un peu çà et là, puis mélangé le tout pour en ressortir quelque chose qui ressemble à plein de groupes, mais qui en même temps a sa propre originalité. Cette force Friendly Fires l’exprime surtout en live. Et puis le final dans la foule de Ed MacFarlane valait le déplacement !
Un seul et unique rappel une fois de plus extrêmement festif, cette fois c’est au tour du guitariste de disparaitre dans le public et je vais le revoir derrière moi le visage extasié et les bras en croix ! Beau final donc avec Kiss Of Life... le groupe aura joué, exactement : 1 h 03. Pour la forme on va regretter que certains titres n’aient pas été joués comme l’excellent In The Hospital, mais, on leur pardonne tout, après ce très bon concert. Pas de merchandising dommage mais tant pis.
Voila c’était une soirée placée sous le signe de la soul, du funk, du disco, le tout avec une petite touche psychédélique et déjantée, que j’aime. À mon avis on les reverra certainement à la rentrée lorsque leur album sera sorti. Ce soir ce n’était qu’un galop d’essai, mais qui fut réussi et transformé. »
J’ai décidé de me placer sur la gauche de la scène pour pouvoir être en face du guitariste, car si je me rappelle bien c’est lui et Ed MacFarlane, le chanteur du groupe, qui sont les principaux instigateurs de Friendly Fires.
En attendant, il faut subir la première partie, un duo du nom de SBRKT, ça sent la musique électronique vu le matos sur scène (claviers et batterie avec claviers !). Effectivement je ne me trompe pas, les deux musiciens sont affublés de masques évoquant l’Amérique du Sud, les Incas, ou quelque chose comme cela, je ne sais toujours pas à quoi ils servent, mais bon… Musicalement, c’est assez fatigant, bidouillages électroniques, sans véritable forme. De plus le chanteur black qui se trouve aux claviers chante très mal, du coup c’est irritant à la longue. Pour ma part, c’est sans grand intérêt. 39 minutes de concert tout de même…
Scène dégagée, la batterie se trouve curieusement sur la droite de la scène alors que les cuivres qui généralement se trouvaient en arrière-plan sont ce soir sur la gauche juste derrière le guitariste. Le concert débute par Lovesick, on pense fatalement à de groupes comme LCDS et (Chk Chk Chk) !!!, mais quand c’est bien fait, on approuve tout simplement. Il est vrai que Friendly Fires possède en la personne d’Ed MacFarlane un performer hors du commun. La différence qui s’affiche clairement ce soir avec les groupes d'influence c’est le côté funk que Friendly Fires apporte à leur musique, en partie grâce aux cuivres, d’ailleurs. Le concert est, pour une partie, consacré à de nouveaux morceaux pour un album qui devrait sortir dans quelques mois. Avec On Board on attaque carrément du côté de chez LCD Soundsystems avec de la basse et des percussions sans oublier le jeu de scène de Ed qui à leur début me semblait assez ambigu, mais qui est maintenant la marque de fabrique du groupe. Il faut le voir se tortiller dans son pantalon serré et faire monter l’excitation dans le public. À ce propos, il est curieux de voir qu’il a fallu une bonne demi-heure pour que le point FMR commence à bouger. Ce n’étaient d’ailleurs pas les premiers rangs qui tanguaient, mais plutôt le milieu en arrière. La cause était sans doute due aux nouveaux morceaux interprétés par le groupe. Mais la salle prend feu définitivement avec Jump In Pool puis finie conquise avec la bien nommée Paris où le mélange des percussions et du synthé la font définitivement chavirer. Ce qui est bizarre avec Friendly Fires c’est que j’ai l’impression qu’ils ont pioché un peu çà et là, puis mélangé le tout pour en ressortir quelque chose qui ressemble à plein de groupes, mais qui en même temps a sa propre originalité. Cette force Friendly Fires l’exprime surtout en live. Et puis le final dans la foule de Ed MacFarlane valait le déplacement !
Un seul et unique rappel une fois de plus extrêmement festif, cette fois c’est au tour du guitariste de disparaitre dans le public et je vais le revoir derrière moi le visage extasié et les bras en croix ! Beau final donc avec Kiss Of Life... le groupe aura joué, exactement : 1 h 03. Pour la forme on va regretter que certains titres n’aient pas été joués comme l’excellent In The Hospital, mais, on leur pardonne tout, après ce très bon concert. Pas de merchandising dommage mais tant pis.
Voila c’était une soirée placée sous le signe de la soul, du funk, du disco, le tout avec une petite touche psychédélique et déjantée, que j’aime. À mon avis on les reverra certainement à la rentrée lorsque leur album sera sorti. Ce soir ce n’était qu’un galop d’essai, mais qui fut réussi et transformé. »
Friendly Fires est un trio qui vient de San Albans, au nord de Londres, qui se réclame du post-punk et de la dance music. Ils tirent leur nom d'une chanson de Section 25, groupe historique du label Factory (Joy Division, A Certain Ratio, Happy Mondays) et acteur du mouvement post-punk/electro dans les années 1980. Après le succès de ses singles "Cross the line", "Paris" et "On board", le groupe a sorti son premier album, Friendly Fires, en été 2008. On retrouve aussi tous les éléments de la brit pop dans la lignée de The Klaxons ou Hot Chip.La recette de leur succès est un savant mélange de disco-punk, pop et rock des années 80, un electro-disco-rock énergique qui fait bouger les pieds. Parmi leurs influences on retrouve des groupes signés sur le label techno Kompakt, comme Carl Craig et Prince.
(http://www.myspace.com/friendlyfires)
Albums
Friendly Fires (2008)
Friendly Fires (Deluxe Edition) (2009)
Pala (2011)
Friendly Fires (2008)
Friendly Fires (Deluxe Edition) (2009)
Pala (2011)
EP
Photobooth (2006)
Cross the Line EP (2007)
The Remix EP (2007)
Ed Macfarlane: Vocal
Jack Savidge : Bass
Edd Gibson : Guitar
+
Rob Lee : Drums
Jack Savidge : Bass
Edd Gibson : Guitar
+
Rob Lee : Drums
La Setlist du Concert
FRIENLY FIRES
Lovesick (Friendly Fires - 2008)
Blue Cassette (Pala - 2011)
True Love (Pala - 2011)
On Board (Friendly Fires - 2008)
Chimes (Pala - 2011)
Skeleton Boy (Friendly Fires - 2008)
Show Me Lights (Pala - 2011)
Live Those Days Tonight (Pala - 2011)
Hurting (Pala - 2011)
Jump In The Pool (Friendly Fires - 2008)
Pull Me Back To Earth (Pala - 2011)
Paris (Friendly Fires - 2008)
Encore
Hawaiian Air (Pala - 2011)
Kiss Of Life (Single - 2009 - Ministry of Sound The Annual - 2010)
Blue Cassette (Pala - 2011)
True Love (Pala - 2011)
On Board (Friendly Fires - 2008)
Chimes (Pala - 2011)
Skeleton Boy (Friendly Fires - 2008)
Show Me Lights (Pala - 2011)
Live Those Days Tonight (Pala - 2011)
Hurting (Pala - 2011)
Jump In The Pool (Friendly Fires - 2008)
Pull Me Back To Earth (Pala - 2011)
Paris (Friendly Fires - 2008)
Encore
Hawaiian Air (Pala - 2011)
Kiss Of Life (Single - 2009 - Ministry of Sound The Annual - 2010)
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